Retrouvez ici les dernières évolutions concernant les conséquences de l’épidémie de grippe aviaire pour les centres de soins pour la faune sauvage situés dans les régions concernées.

Mis à jour 10/02/23 – 11h43

Le centre de soins de l’association CHENE

Jusqu’à nouvel ordre, le centre de soins de l’association CHENE, situé à Allouville-Bellefosse (76), n’accueille plus d’oiseaux marins.

Les centres de soins LPO

Dans son communiqué « Grippe aviaire : le point sur la situation en France » en date du 1er septembre 2022, la LPO précise que « dans ce contexte et faute d’infrastructures de quarantaine, la LPO n’est malheureusement plus en mesure d’accueillir certaines espèces d’oiseaux particulièrement touchées par le virus (fous de Bassan, goélands et mouettes) sur tous les départements des façades littorales Manche et Atlantique, que ce soit dans nos centres de sauvegarde de la faune sauvage ou en transit dans les différents points relais (sites de collecte en vue du transport vers les centres de soins : vétérinaires partenaires, antennes LPO, etc.). »

    • Centre de sauvegarde LPO AURA
La structure ne peut plus prendre en charge les oiseaux des espèces suivantes afin de protéger et ne pas mettre en péril les autres oiseaux actuellement en soins :
– Anatidés : cygne, oie, bernache, canard…
– Laridés : mouette, goéland, sterne…
– Ardéidés : héron, aigrette…
    • Le centre régional de sauvegarde de la faune sauvage LPO PACA

En raison de plusieurs cas détectés dans la région, le centre stoppe l’accueil des oiseaux d’eau (cygne, canard, flamant, etc).

Le centre de soins Alca torda

Le centre de soins Alca torda, situé à Pouydesseaux (40), ne prend plus en charge les oiseaux marins.

Le centre de sauvegarde de la faune lorraine

En raison d’un arrêté préfectoral, ordonné par la Direction Départementale de la Protection des Populations, le centre ne peut temporairement plus accueillir d’oiseaux sauvages en détresse.

 

Pour rappel, en cas de découverte d’oiseau marin en difficulté ou mort, ne touchez en aucun cas l’animal et contactez le plus vite possible l’Office français de la biodiversité de votre département.

(Crédit photo : CDS LPO Aquitaine)

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